Femmes à vélo

3  vrouwelijke fietskoeriers. DHL fiets

Fin février, nous avons parlé à Eline, May Lis et Pauline, trois coursiers à vélo extrêmement enthousiastes et motivés qui travaillent dans notre centre de distribution à Anvers. Nous étions curieux de connaître leurs expériences en tant que femmes à vélo dans un secteur dominé par les hommes.

Le début de leur histoire avec DHL Express

Eline et May Lis travaillent chez DHL Express pendant cinq ans. May Lis a d’abord vu DHL Express comme une solution temporaire. »Je ne savais pas encore quelle direction je voulais donner à ma carrière », dit-elle. Mais elle a vite constaté qu’elle se sentait vraiment chez elle chez DHL Express et a décidé de rester. Comment leur histoire avec DHL Express a-t-elle commencé ? En cherchant sur Google les offres d’emploi de coursiers à vélo. Voyant les conditions de travail intéressantes, ils ont tous deux décidé de tenter leur chance.

Pour Pauline, les faits étaient légèrement différents : « Sur mon précédent lieu de travail, j’étais victime de harcèlement ». Ma meilleure amie m’a mise en contact avec DHL Express ». Elle a postulé et Pauline a été embauchée ! « Maintenant, je fais partie d’une équipe où tout le monde se soutient et est là l’un pour l’autre.

3 coursières à vélo. Un vélo DHLExpress.
De gauche à droite: Pauline, Eline en May Lis

J’arrive, monsieur !

« Sommes-nous traitées différemment parce que nous sommes des femmes ? Non, pas vraiment », répondent les trois femmes. « La seule chose qui est parfois un peu ennuyeuse, c’est que les clients crient ‘j’arrive monsieur’ par habitude quand on sonne. Ils ne s’attendent pas tout de suite à voir des femmes à vélo ».

« Mais à part cela, nous recevons beaucoup de respect de la part des gens. Par exemple, s’il pleut, ils demandent rapidement si nous voulons un café. Ils nous disent aussi de faire attention à notre vélo. Lorsqu’il fait chaud, on nous propose souvent une boisson rafraîchissante. Le fait que les gens soient si sympathiques et impliqués nous fait bien évidemment plaisir ».

Ils poursuivent : « Nous remarquons également que nous sommes une attraction touristique populaire. De nombreuses photos sont prises de nous et de nos vélos. Les gens nous saluent, font des high five et les enfants viennent nous dire bonjour ». Eline a également déjà eu une expérience assez unique : “Une fois, quelqu’un m’a donné un bisou sur la tête. C’était peut-être un peut trop sympa ».

Et les camionettes ?

Tous les trois sont des coursiers à vélo dans leur cœur et ont clairement de solides opinions sur les camionnettes. : « Disons qu’aucune de nous trois ne sauterait si on nous demandait de monter dans les camionnettes ». Nous préférons laisser May Lis sur son vélo, car elle a dit qu’elle ne resterait pas ici si elle devait toujours se déplacer en camionnette.

Pauline se sent un peu triste et seule quand elle a roulé toute une journée : « Parce qu’à vélo, on rencontre plus souvent des gens et on se sent moins seul. » Les embouteillages et la peur de renverser quelqu’un avec la camionette jouent également un rôle important dans leurs choix. « Mais nous constatons aussi l’inverse chez les chauffeurs. Ils préfèrent rester dans leur camionette. » Chacun est donc à sa place ici !

Mieux vaut être trempé sur le vélo que dans un embouteillage avec la camionnette.

May Lis

Et pour le développement durable ?

Pour DHL, la durabilité est une priorité commerciale claire. L’objectif est de réduire à zéro toutes les émissions de CO2 de la logistique d’ici 2050. Cet objectif est également très important pour les coursiers. C’est un énorme plus pour leur travail : « Les vélos et les camionnettes électriques sont un véritable atout et un bon pas en avant ! ». Travailler chez DHL Express a même encouragé Pauline à être plus attentive à l’environnement à la maison : «  »J’avais l’habitude de jeter quelque chose dans la rue parfois…… Mais comme je porte l’uniforme de DHL, je me sens obligé de montrer l’exemple, alors j’ai continué à le faire après les heures de travail ».

Les facteurs positifs

Les facteurs positifs de leur travail sont nombreux. « Le plus important est peut-être le respect que nous rendent les gens », indiquent-ils. « Mais aussi l’ambiance entre ces coursiers jusqu’à même l’équipement que nous avons à notre disposition, comme l’armoire de séchage que nous pouvons utiliser après un jour de pluie. » Ce sont tous des facteurs positifs dont May Lis, Pauline et Eline sont fières..

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